Depuis quelques années, le nombre d’auto-entrepreneurs augmente en France. Avec la mutation du marché de l’emploi, il semble que cette alternative soit la meilleure afin de retrouver une certaine stabilité financière rapidement. Mais pour devenir auto-entrepreneur, il faudra accomplir quelques procédures.
Les procédures administratives à régler absolument
Afin de devenir plus autonome, il faut en amont se lancer dans quelques démarches administratives. En tant qu’auto-entrepreneur, le prestataire n’a pas besoin de créer une entreprise. De plus, il n’a pas l’obligation de rédiger un statut ou de régler des formalités contraignantes.
Cependant, il doit faire une déclaration d’activité auprès des autorités compétentes. En échange de quoi, il bénéficiera d’une carte professionnelle et d’un numéro SIRET et il sera immatriculé au sein des organismes concernés. Pour ce faire, quelques documents seront nécessaires. On parle notamment du certificat de résidence pour la domiciliation de l’activité, ainsi que de l’assurance RC pro et du Relevé d’Identité Bancaire (RIB). En effet, depuis 2015, il est devenu obligatoire pour les auto-entrepreneurs d’avoir un compte bancaire professionnel spécifique. Celui-ci servira à payer les redevances fiscales.
Comment s’assurer de la tenue de la comptabilité ?
C’est l’une des problématiques récurrentes du fait de travailler en tant qu’indépendant. La tenue de la comptabilité nécessite non seulement du temps, mais aussi de la minutie. Il en va de même pour la pérennité de l’activité.
Heureusement, on a droit aujourd’hui à différents logiciels de comptabilité pour auto-entrepreneur afin de disposer d’une comptabilité efficace. Avec un programme intuitif, il sera plus simple d’enregistrer toutes les transactions effectuées. Le principal concerné pourra alors contrôler sa trésorerie et ainsi mieux gérer ses finances. Dans certaines professions, un audit légal est réalisé chaque année. Grâce à un utilitaire certifié, le professionnel n’aura aucun mal à prouver la sincérité des comptes. D’ailleurs, ces outils réunissent de nombreuses fonctionnalités utiles.
Un module spécifique a été prévu pour la facturation. Celui-ci peut notamment être employé avec des caisses électroniques. Depuis le début de 2018, les commerçants sont obligés de se servir de ces logiciels pour écarter les risques de fraude fiscale. Les législateurs ont effectivement pris quelques mesures afin de prévenir les déclarations falsifiées de la TVA.
Quelques programmes ont été développés pour répondre à tous les besoins des auto-entrepreneurs. Les éditeurs ont pris en compte de nombreux paramètres pour concevoir des outils simples à utiliser. Ils proposent également une assistance continue lors des premiers usages du logiciel. Grâce au soutien apporté par les développeurs, l’utilisateur arrivera à exploiter toutes les possibilités qu’offre l’utilitaire.
Leave a Reply